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 Amely Melwiann

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Stanou

Stanou
has too much feels it hurts


▬ talks : 12
▬ inscription : 23/03/2018


Amely Melwiann _
MessageSujet: Amely Melwiann Amely Melwiann Icon_minitimeMer 8 Sep - 21:29


Amely Melwiann

Amely Melwiann 706205ijhknl
feat. random guy blond
ge : Un peu plus de 20 ans
Sexe :Masculin.
Sexualité :Allez savoir.
Camp & grade :
Métier : Forgeron
Classe : /
Familier : Kot ? Aucun pour le moment.


Physique

Taille :1 mètre 87
Corpulence : Correcte tant que la nourriture ne lui manque pas.
Cheveux : Blonds, presque délavés. D'une longueur correcte, c'est à dire assez pou couvrir yeux et oreilles au besoin.
Yeux : Verts gris, assez clairs.
Signe(s) particulier(s) :
Arme(s) : Se débrouille au besoin avec ce qui lui tombe sous la main notemment des bâtons et épées légères mais n'a aucune vériatable maitrise. Un bâton donc.
Artefact(s) : /

Facultatif : Un jeune homme d'une carrure respectable pour son mètre presque quatre-vingt dix. Un visage juvénil, encadré par des cheveux trop peu souvent coiffés, dont l'on ne voit que rarement le nez enrhumé et les lèvres gercées. Une écharpe le couvre au tier, ne laissant que ses yeux fatigués  à découvert. Une voix fatiguée et un peu rauque sort de sous ce bout de tissus qu'il nomme écharpe et ses gestes lents mais néanmoins précis se découpent jusque tard dans la lumière de la forge.


Psychologique

Il y en a qui se croient investis de mission divine ou quelque chose du genre. Ceux qui se pensent bonnes âmes en fouinant dans les affaires des gens, persuadés d’être utile malgré tout. Comme s’il leur fallait aider les autres pour qu’ils s’aident eux même. Non, il n’est pas de ce type là et bien que parfois on puisse s’y méprendre, il déteste tout autant que vous ces gens là. Mais maintenant approchez et regardez. N’ayez pas peur, il dort. Il a le sommeil lourd d’ailleurs, sacré désavantage. Mais c’est le lot de tous ceux qui se tuent au travail. Par ce qu’il n’a plus que cela, par ce qu’au fond s’il ne tue pas à la vie, à quoi bon ? Alors il dort d’un sommeil de plomb, comme une énorme pierre au fond d’un cours d’eau : malgré toute l’agitation dans laquelle il baigne rien ne le fait bouger. Sauf quand quelqu’un qui le prend à pleines mains, à bout de bras, et le déplace avec toute la conviction du monde et mobilisant tout ses muscles. Et ainsi il faut le vouloir pour le tirer de son quotidien, le mettre hors de lui ou même le faire hausser légèrement de ton.  Il est calme : il ne crie pas, ne pleure pas non plus. Il geint peut être parfois et occasionnellement son corps semble trahir cette apparente absence d’excès. Ainsi dans toute la majesté de sa tranquillité il pourra vous courir après et il vous semblera déceler une pointe d’amusement dans son regard et vous croirez apercevoir un sourire enfantin fendre sa bouche pourtant close. Mais ne vous y trompez pas, je ne l’ai pas décrit muet, bien qu’il lui arrive de faire l’économie de sa salive lorsqu’encore une fois il travail fer et alliages. C’est pour cela qu’on peut le croire concerné par tout : il a toujours l’air de laisser traîner une oreille quelque part. Car il bon auditeur, mauvais conseilleur et bien piètre orateur. C’est un étrange épouvantail animé. Mais qui irait mettre un épouvantail dans une forge ? On tente d’éloigner de bien étranges oiseaux parfois.
On ne sait pas vraiment d’où il sort cette constance, ce calme apparent dissimulant surement tempête en lui. Alors on se plait à imaginer ce qu’il se passe derrière ses yeux gris-verts, si l’on arrive à s’accrocher assez pour lui trouver un quelconque intérêt.


Historique

Il va de soi que la famille est quelque chose de futile quand on en vient à tant s’éloigner d’un possible « chez  soi ». Pourtant ça n’avait pas été une mauvaise chose au début. Il nous faut tous un environnement où grandir et on peut aisément affirmer qu’une famille complète n’est pas le pire cadre pour pousser. Pourtant pour Amély elle n’est rien, du moins disons peu : un souvenir pas désagréable et une histoire qui fait chaque homme. Des paysans aisés dans la campagne environnante de Muninn ; un frère de 5 ans son ainé destiné dès le premier souffle à reprendre le travail aux champs, les comptes et le corps de ferme qui allait avec ; et la benjamine de 7 ans sa cadette. Ainsi il avait travaillé jusqu’à ses seize ans auprès de ses parents, délaissant un peu son rêve de travailler les métaux pour aider aux travaux des champs. Pourtant il n’oubliait pas son désir de devenir forgeron, trainant lorsqu’il le pouvait aux alentours des forges, admirant le travail de ces hommes sûr d’eux. L’alliance de la force brute à la précision, un mélange surprenant de brutalité et de minutie. C’était en ça qu’il se reconnaissait. Pourtant la force lui manquait encore et c’est résigné qu’il rentrait chez lui chaque fois. Cela arrive parfois. C’est souvent par cette résignation que l’on écrase nos rêves, les plus fous comme les plus réalistes. Cette résignation ne vient pas du cœur mais de la raison. Car au fond de soi on y croit toujours un peu. Seuls les facteurs extérieurs parviennent à ternir l’éclat de ces rêves, on ne trouve jamais au fond de soi quelque chose d’assez fort pour y renoncer.
Ainsi les autres pensent nous voir renoncer pour toujours. Jusqu’à ce que, comme prit d’un sursaut, on se réveille un matin avec l’idée d’en finir  une fois pour toute et de tout mettre en œuvre pour y parvenir. C’est ainsi que l’année de ses seize ans Amely prit son courage à deux mains, annonçant malgré les protestations qu’il partait dieu-sait-où apprendre ce qui l’avait toujours fasciné : le métier de forgeron.  Il prit donc, seul, la direction d’Uri. Les premiers mois furent plus que difficiles et il se passa longtemps avant qu’il ne puisse s’approcher réellement d’une forge. Il enchainait des travaux peu payés, pour avoir de quoi manger et dormir au chaud. Enfin, au bout d’une année il prit la peine de se présenter à un des forgerons de la ville pour devenir apprenti.
Une année et demie passa. Année qui fut bien occupée. C’est durant ce temps que le silence et la patience s’installèrent. Durant cette formation que le personnage se façonna. Un maitre forgeron silencieux mais attentif et patient. Chose qui permit à Amely d’apprendre vite et bien. Envie et passion grandirent à cette période. La technique aussi, une petite renommée en résultat et  il n’en fut pas peu fier, même si elle se fêta en silence.
C’est au bout de cette année et demie qu’une proposition plus que surprenante et inattendue  se présenta alors.  Amely, alors âgé de 18 ans et quelque mois, rencontra Loki. Il ne su jamais vraiment comment celui-ci fut mené jusqu’à lui mais en résulta un changement bien visible et non négligeable : sous les directives de Loki  qu’il se dirigea vers le sud pour rejoindre Midgrad.


Good morning trees

Amely Melwiann Pwahpwahpwah_10

Pseudo :Cake, Lassy, Dex.
ge :J'suis jeune, on va dire.
Comment es-tu arrivé(e) ici ? J'ai été trainé de force !
Le mot de passe : munchmunchmunch hahihoha.
Un dernier mot ?Dans mon lycée ils veulent créer un club de cheerleaders ... le mec avec une gueule à dire "Avec des mini-jupes, pour le travail."

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Amely Melwiann

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